Pause forcée des nouvelles de l’Ukraine dans les derniers jours puisque ça a adonné que j’ai reçu les corrections de la première version de mon essai pour ma maîtrise. Donc pour montrer un peu le processus ressemble à quoi, écrire n’est que la deuxième partie (la première étant la recherche). Maintenant je suis au moment de la révision et c’est à mon avis le pire. Se sont enchaînées plusieurs séances de relecture, choix déchirants de texte à couper, précisions à ajouter, casse-tête de mise en page pour rentrer dans le nombre de pages réglementaire (80, au lieu des 135 que j’aurais voulues…), vérification de la bibliographie… Bref, beaucoup de moments à fixer un écran pour scruter chaque mot, au point d’en avoir mal à l’orbite des yeux. Pour donner une idée de ce à quoi il faut faire attention:
-comme j’ai des sources en anglais et en français, je dois m’assurer que la ponctuation est correcte selon la langue, par exemple les » » en anglais et « » en français
-pour les notes en bas de page, je dois m’assurer qu’il n’y ait pas de doublon. La première fois que je cite un ouvrage, la note s’écrit au long, la deuxième fois, c’est une version plus courte
-j’ai tendance à faire des fautes de frappe, genre «te» au lieu de «the»
-pour diminuer mon nombre de pages, je devais choisir quelles informations pouvaient être retirées sans que le texte complet soit trop affecté
Bref, pour moi, ça a été beaucoup plus difficile que de simplement écrire. Maintenant, la deuxième version est remise, et je suis en attente soit de corrections supplémentaires, soit du feu vert pour la soumettre officiellement! Je retrouverai donc le temps dans les prochains jours de reparler de l’Ukraine!
Bravo tu as réussi à sacrifier presque la moitié de ce que tu voulais écrive comme tu dis pas facile pour toi connaissant ton Reprend toi dans tes blogues.
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Bon courage! Tu dois passer à travers cette étape ardue et déchirante. Mais c’est ce qui va te mener au but.
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