Au cours de mes séjours en Europe de l’Est, j’ai croisé de nombreux chats. Ce n’est pas particulièrement étonnant, des chats errants dans un contexte urbain, mais dans cette région du monde, ça s’explique en partie par la venue du communisme et des blocs, alors évidemment ça me rejoint. Comme j’en ai parlé dans des textes sur les blocs, avant le communisme, ces pays étaient majoritairement agricoles. La population habitait en campagne dans des villages. Les familles avaient des chats (et des chiens… mais ce sera un sujet pour un autre jour!) pour s’occuper des souris. Arrive le communisme, et avec , une grosse vague d’industrialisation. Le gouvernement pousse les citoyens à se déplacer vers les villes, construit des blocs pour les loger, afin d’avoir de la main d’œuvre pour les nouvelles usines. Donc, les familles ont soi laissé leurs chats derrière, en campagne… ou les ont amené avec eux en ville. Et les chats malheureux dans des petits appartements surpeuplés s’échappaient, croisaient d’autres chats dans la même situation… et voilà. D’où la grande population de chats errants dans les ex pays communistes. C’est tout à fait normal de voir des ombres félines se glisser entre deux blocs, sauter d’un balcon à un autre, se faufiler dans un sous-sol abandonné par une fenêtre cassé. Les chats font parti du paysage urbain brutaliste!
Je vous propose donc une mini-série de mes rencontres avec ces chats des blocs, en commençant aujourd’hui par ceux de mon récent voyage en Bulgarie.




D’abord je l’ai trouvé immédiatement le petit dernier. Tes photos sont originales jumelées à tes commentaires. Ce doit être stressant pour ceux qui sont allergiques aux chats j’attend le commentaire d’Andree. Mais bon ça fait de la vie du moment qu’ils sont heureux.😺
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Je sais pas mais il y a peut-être moins d’allergies vu que les animaux errants sont très présents!
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